A priori mieux ! La cure de paroles a permis à l’analysant de dépasser sa dépression ou ses angoisses. Même si ses blessures se rappellent temps en temps à lui, il a le sentiment de les avoir soignées et d’avoir accueilli les larmes longtemps refoulées.
Il peut répondre positivement à ses questions des débuts : l’analyse est-elle efficace ? Est-ce que ça marche ?
Il a exploré ses relations avec sa mère, son père, sa fratrie, son couple et éventuellement a pardonné. Il s’est interrogé sur son désir d’enfant ou ses relations avec ses enfants. Il évite désormais les relations de bourreau-victime et noue des relations apaisées en famille, en couple ou en société. Il se sent plus vivant, singulier, créatif…